Au cours de la dernière opération de remplacement des carreaux de façade mené simultanément sur les 3 copropriétés, “LES TOURNASOLS”, “LES JONQUILLES” et “LES PERVENCHES”, il n’y avait plus assez de plaques grises pour remplacer toutes celles qui étaient cassées.
Un intervenant extérieur c’est donc servi en plaques grises sur le pignon de notre copropriété afin de réparer les façades des autres copropriétés.
Deux rangs de plaques grises ont été ici retiré de notre pignon, sur les trois du bas que nous avions. Elles ont été remplacées par des plaques rouges, en endommageant la structure porteuse. De plus, leur teinte diffère.

Visiblement, cela ne semble déranger personne.

En a-t-on donné ici l’autorisation au cours d’une assemblée générale ?
À ton prévu de négocier avec l’entreprise allemande “AGROB BUSCHTAL” la possibilité de relancer une fabrication de ses plaques ?
Et qui va financer cela ? “VAN GOGH 2” ? “LES TOURNESOLS” ? “LES JONQUILLES” ? “LES PERVENCHES” ?
La situation est totalement ubuesque !
L’avenir de notre copropriété ne dépend que de quelques plaques de façades qui moisissent dans une autre copropriété, “LES PERVENCHES”.

Allons-nous devoir provoquer une assemblée générale extraordinaire communes entre 3 copropriétés pour décider de cela ?
Qui va payer ? et quel carreau de façade ? et quelle quantité ? quel prorata ?
Et si ce produit n’est plus fabriqué par “AGROB BUSCHTAL”, qui va dépouiller entièrement ce pignon pour habiller les autres façades, et quelle nouvelle isolation par l’extérieur il va falloir faire à la place de celle-ci, et qui va payer ce nouveau pignon qui aura été sacrifié pour sauver les autres copropriétés ? C’est “VAN GOGH 2” ?
J’en appelle aux puissants cerveaux qui ont mis en place tout ce fatras, car là, j’avoue ne pas être en mesure d’en saisir toutes les subtilités.
Dans le cas contraire, nous allons bientôt ne plus avoir de quoi habiller nos pauvres façades et de ce fait, ce sera la faillite totale de nos copropriétés qui seront devenu inlouables, invendables, juste voué à la destruction pour satisfaire l’appétit de quelques promoteurs.


Conclusion …


